dimanche 17 janvier 2010

Parce que tous les spectacles ne peuvent pas être bons...

Samedi 16 janvier 2010
Théâtre 145 de Grenoble


Comment décrire le spectacle auquel j'ai assisté hier soir avec mon collègue Pascal Auclair. Ou plutôt, comment pourrais-je décrire la moitié de spectacle que j'ai vu hier soir parce que oui, nous sommes sortis en plein spectacle. Croyez-moi, c'est rare que je fais ça, en fait, c'est la deuxième fois de ma vie seulement que ça m'arrive !

La chanteuse, Catherine Veth, aparamment une dame qui fait souvent des choses assez intéressantes, a proposé un spectacle où les textes étaient aussi bizarres que la façon de les présenter. À la sortie du spectacle, nous avons vraiment essayé fort de trouver des points positifs au spectacle, mais ça a été impossible. Dommage ! Nous aurions dû nous en douter quand nous sommes entrés dans la salle et qu'il s'y trouvait tout au plus 40 personnes - la salle était vide !

Les trois musiciens qui l'accompagnaient étaient très bons, surtout le batteur. Mais imaginez-vous que dans une des chansons, la batterie était pré-enregistrée et le batteur est resté derrière sa batterie, souriant, dansant même sur sa chaise...

Le spectacle, présenté au Théâtre 145, s'intitulait "J'y suis" et était annoncé comme "Une autobiographie imaginaire". Et bien moi, dans mon imaginaire, je me disais que j'étais devant une troupe d'humoristes qui se moquaient d'un spectacle d'une chanteuse française essayant d'utiliser tous les mots du dictionnaire, sans vraie mélodie, et en exagérant chacun des gestes (voire l'oiseau qui passe). Le summun de la bizarrerie était selon moi la chanson où chacune des phrases se terminait par une rime en "alle"... pas très génial !!!

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